Titre contradictoire à première vue qui renferme pourtant la vérité, celle d’une ligue composée de divisions de divers calibres et saveurs si je peux m’exprimer ainsi car la Ligue Fédérale des As offre une variété de programmes pour tous les goûts. Du joueur débutant au très expérimenté, du jeune adulte au retraité, du joueur récréatif à celui ou celle qui cherche du jeu compétitif. Matin comme l’après-midi ou le soir, 7 jours sur 7 avec des saisons aux courses au championnats ou simplement des matches amicaux de style « pick-up », avec des formats 3v3 ou 5v5. Intérieur comme extérieur 51 semaines par années les joueurs et joueuses du grand Montréal peuvent trouver ce qui se fait de mieux dans le sport organisé avec la LFA.

Avec l’essor de l’intelligence artificielle au cours de la dernière année dans la sphère publique et particulièrement celle de ChatGPT qui est sur la sellette, nous avons voulu tester cet outil pour voir ce qu’il a à dire sur notre ligue. Donc pour cette parution du premier JOURNAL LFA de 2024, nous avons décidé d’être dans l’ère du temps et de laisser « la machine » nous pondre l’article qui suit habillé de différents logos et photos.

Jeudi dernier avait lieu le dernier match de championnat de notre saison estivale et dimanche une série de trois matchs des recrues pour nous aider dans un volet de notre mission de mettre sur la glace des équipes équilibrées.

La Ligue Fédérale des As aura eu besoin de 10 ans pour rejoindre la LNH et le nombre d’équipes actives. En effet, cet été nous nous sommes hissés à 32 clubs à travers 9 différents programmes avec encore deux autres projets en développement. Bien entendu, la comparaison s’arrête là, avec possiblement quelques trophées, vidéos et logos qui ne sont pas piqués des verts.

Voici certains sujets qui ont retenu l’attention au cours des derniers mois.

Le temps se creuse de plus en plus entre les parutions du Journal LFA, comme la charge de travail telle une boule de neige qui descend une pente escarpée ne cesse de s’accroitre. Voici un bref aperçu de ce qui s’est passé depuis notre dernière parution. Avis à ceux qui voudrait contribuer avec leur plume à notre journal.

La fin d’une année et le début d’une autre qui nous semble toujours plus prometteuse que celle qu’on vient de passer, vient souvent avec un bilan. Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, on n’y échappe pas ! La saison 2022-2023 souligne notre 10ième anniversaire et 26 équipes plus tard, la LFA se porte plutôt bien malgré les embûches que nous avons dû franchir pour atteindre ce jalon important de notre histoire. Certes, il y a toujours place à l’amélioration et nous travaillons en ce sens pour continuer d’offrir une expérience hockey optimale à plus de 1400 membres.

Comme au volant, nous devons parfois regarder en arrière tout en allant de l’avant et cette saison 2022-2023 marque notre 10ième anniversaire qui aura été tout un défi à atteindre. Le titre, en fait, est erroné car bien que nous soulignions notre 10ième saison régulière, nous ne devons pas oublier les saisons estivales qui, dans leurs cas, atteindrons cette marque à l’été 2024.

Plus de temps que prévu s’est écoulé depuis notre dernière parution du Journal LFA et c’est finalement entre les deux saisons que je prends une pause pour souligner ce qui s’est passé cet été dans la Ligue Fédérale des As et voir avec vous ce qui s’en vient pour notre 10ième saison sur les glaces de Montréal.

Le Grand Prix est de retour en ville et me rappelle les débuts de La Ligue Fédérale des As que vous appelez tous la LFA. Créée le 12 du 12 2012, c’est durant le grand prix de 2013 que les choses ont vraiment commencé à bouger pour nous. L’hiver et le printemps avaient été chargé à créer le logo de la ligue, le style des uniformes, le visuel général du site web sans compter le recrutement pour trouver les 44 membres du « original 4 ». C’est en juin que nous sommes vraiment venu au monde en signant une première entente de partenariat et non la moindre avec les Brasseurs RJ-GMT, fabriquant de la bière TREMBLAY. Je me rappelle : j’étais sur une job de clôture avec Larry, chum d’enfance et contributeur à la création de la ligue et premier préfet de discipline de celle-ci, quand j’ai reçu l’appel m’annonçant que la Brasserie embarquait après des mois de discussions.