Beaucoup de recherche, croquis et d’idées ont été lancés pour arriver au logo final de la Ligue Fédérale des As. Le temps étant contre nous, comme le moment entre la confirmation du temps de glace supplémentaire qui a permis la création de la ligue à partir des cendres du Hockey Brotherhood et l’annonce au grand jour de la formation de cette nouvelle entité dans le paysage sportif montréalais a été très court. Nous parlons d’à peine deux mois pour non seulement trouver le nom qui dormait en moi mais également créer l’image qui allait nous représenter, tout en mettant sur pied un site web expliquant les premiers pas du projet, sans compter la panoplie de textes en français, anglais et en montréalais qui ont occupé tout mon temps libre pour promouvoir la LFA, créant ainsi les premiers jalons du nouveau visage du hockey adulte au Québec.
Le « JE » n’était qu’une partie du projet car plusieurs ami(e)s ont participé pour rendre le tout possible. Vous pouvez voir leurs noms dans la section remerciements de ce site. Si nous nous concentrons sur le logo de notre ligue qui a subi plusieurs transformations entre janvier et juillet 2013, celui-ci a été réalisé avec la collaboration de Raymond Hughes qui a bien compris l’idée derrière le rêve. J'étais inspiré par le mouvement post-moderne communiste qu'on retrouve dans les images de propagande gouvernementale, tout particulièrement certaines venant d'affiches que mon père m'avait ramenées du Portugal durant les élections de 76, un style que Ray a bien mis à sa main. Plusieurs versions du logo de la LFA existent car mon amie Marie-Hélène Dion, Larry et Jeremy Lancelin avec qui j’ai complété l’œuvre de Ray ont tous mis d’eux-mêmes pour imaginer l’image de la nouvelle ligue d’hockey adulte à Montréal.
Ce qui est le fun avec des logos et des images en général, c'est que nous pouvons toujours imaginer d’autres choses et jouer avec la matière, c’est pourquoi au cours des prochaines années nous sortirons différentes versions de notre logo sur des t-shirt et autres supports pour partager avec vous les fruits d’un imaginaire collectif.
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JFD